De temps en temps pas aussi souvent qu'avant mais dans le vent j'entends des mots venants d'un autre temps un temps passé à tes cotés ça n'semblait pas si effrayant on en parlait on en riait du temps qui cherche tant à s'échapper filant de tous cotés autant te dire qu'à présent ce n'sont pas ces histoires de futur que j'attends ô temps pourquoi tu t'enfuis quand tu entends nos pas qui avancent hésitant, l'un vers l'autre, voulant croire que le temps d'une histoire... mais tu t'en vas tu t'en vas, toi, le temps tu nous sépares cruellement après nous avoir fait croire mais on se ment on a pas tant profité de ces moments et c'est dur le sachant d'aller de l'avant autant te dire qu'à présent ce n'sont pas ces histoires de futur que j'attends ô temps pourquoi tu t'enfuis quand tu entends nos pas qui avancent hésitant, l'un vers l'autre, voulant croire que le temps d'une histoire, mais on veut y croire et on y croira jusqu'au dernier de nos souffle on aime y croire et on y croira jusqu'au dernier de nos souffle car c'est ce qui nous pousse à avancer chaque jour vers le prochain même si on a parfois l'air de n'pas savoir quoi faire en dépit de notre foi de ne plus vouloir de tout ça on rage, on pleure on est le pire pessimiste dans le malheur entre deux rire malgré cela peu comprendront, comme on est beau sous nos manteaux manteau de peur, manteau de haine, putain la vie est si malsaine mens tôt ou tard mon étendard se fichera dans le brouillard mens moi un jour, mens moi toujours, je crois qu'on a fait le tour des larmes coulent sur ton menton mentons nous pour tenir le coup

It must be your skin I'm sinking in It must be for real 'cause now I can feel And I didn't mind It's not my kind It's not my time to wonder why Everything's gone white And everything's gray Now you're here now you're away I don't want this Remember that I'll never forget where you're at Don't let the days go by Glycerine Glycerine I'm never alone I'm alone all the time Are you at one or do you lie? We live in a wheel Where everyone steals But when we rise it's like strawberry fields If I treated you bad You bruised my face Couldn't love you more You got a beautiful taste Don't let the days go by Could have been easier on you I couldn't change though I wanted to Should have been easier by three Our old friend fear and you and me Glycerine Glycerine Don't let the days go by Glycerine Don't let the days go by Glycerine Glycerine Glycerine Glycerine Black moon white again Black moon white again And she falls around me I needed you more When we wanted us less I could not kiss just regress It might just be Clear simple and plain Well, that's just fine That's just one of my names Don't let the days go by Could've been easier on you, you, you Glycerine Glycerine Glycerine Glycerine

Tu m'as fait rire, quand je t'ai joué ma chanson et que tu m'as parlé de celle qui m'a inspiré Oui ça m'a fait rire mais ça m'a un peu fait chier aussi que tu n'te rendes pas compte que je parlais de toi aussi c'est comme une chanson qu'on entend dans un contexte si different de celui qu'elle évoque comme sur une pente enneigée ou dans un virage en épingle quand on se sent décrocher en repensant à la jungle dans nos têtes est-ce que tu vois de quoi je parle j'espere que oui sinon tant pis maintenant je suis partis et tu es avec lui tant pis, pour nous, pour lui tu sais je reviendrai de temps en temps au grès du vent me balladant par ci par là en pensant à toi me demandant, si tu penses à moi c'est comme une chanson qu'on entend dans un contexte si different de celui qu'elle évoque comme sur une pente enneigée ou dans un virage en épingle quand on se sent décrocher en repensant à la jungle dans nos têtes est-ce que tu vois de quoi je parle j'espere que oui sinon tant pis mais si tu vois de quoi je parle... ne m'oublis pas je suis patient.

autour de moi le brouhaha je n'entends pas ce qu'on me dit je m'avachis à la merci encore une fois tout ça pour toi encore une fois je me replis dans le chaos qu'est mon esprit je rime en haut des fois en bas je rime ici parfois là bas souvent ailleurs ça dépend l'heure encore une fois encore une fois encore une fois encore on s'aime encore t'es là encore une fois encore une fois t'es là pour moi encore une fois encore, toujours, toujours tu m'aimes et puis on court à la poursuite de plus beaux jours qui les mérite ? peut-etre toi... peut-etre moi... surtout pas eux... jouant là haut avec le feu on les dérange croyant aux anges on a la foi encore une fois encore une fois ils nous ignorent n'ont jamais tort s'en fichent nous blessent et nous délaissent à les entendre tant qu'à faire pourquoi pas se laisser faire ils nous tuerons si on oublis qu'ils n'ont rien, rien de mieux qu'iciiiiiiii ne sont pas mieux que toi en bas se tenant droit face à moi à écouter se demandant parfois souvent des fois peut-etre à quoi rime ce mal-être que tu ressens au fond de toi encore une fois autour de moi cacophonie je n'entends plus la mélodie je me relève fin de la trêve il est temps... qu'est-ce qu'on attend il est temps... il est temps d'en- filer sa veste il est tentant de te dire reste mais tu t'en vas... il est temps d'en- filer sa veste il est tentant de te dire reste mais tu t'en vas, tant pis pour toi tandis qu'il pleut encore une fois je pense à toi t'emmener loin j'aimerai bien une derniere fois encore une fois encore une fois je pleure tout bas encore une fois encore une fois tant pis pour moi autant pour moi je te bouscule j'ai trébuché sur une virgule failli tomber en relisant de mes vingts ans les vieux carnets d'encre noircis pas très lisible rien de brillant rien de risible rien de fini, non plus rien de fini... jamais trop tard pour continuer jamais trop tard pour espérer oser reprendre l'inachevé et entreprendre le poing levé de tout recommencer...

Quand j'ai vu Marguerite, j'me suis dis quel prénom étrange, puis c'est pas vraiment la saison à faire l'amour dans les champs. Moi mon coeur est chrysanthème et mon âme est triste. Quand j'ai vu Marguerite, Marguerite m'a dit « t'approches pas trop de moi » moi j'ai pas écouté tu vois, et j'suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Quand j'ai vu Marguerite j'me suis dit elle sort d'où celle-la puis c'est quoi c'prénom à la con sorti du fond d'un autre temps et moi j'aime pas bien les fleurs et j'aime pas ce qui sent bon J'préfère les pétards aux pétales et un peu la boisson. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups de blues, c'est pas vraiment un bon coup, mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme un parfum de nocturnes qui auraient l'goût des levers du jour, parce qu'elle elle dit jamais « je t'aime », parce que sans équivoque aucune, la liberté au bout des doigts, entre le marteau et l'enclume, c'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite, la Marguerite Quand j'ai vu Marguerite, ça m'a fait comme un bras d'honneur, l'insoumission qui dit « je n'ai ni Dieu ni Maître ni qui que ce soit », comme un doigt levé bien haut à tous les Dieux, tous les suppôts, c'est l'solidaire des travailleurs puis c'est la liberté du coeur. Quand on va pointer à sa porte, sûr qu'on est tous un peu chômeur, et moi qui suis là comme un con à effeuiller les pétales de Tulipe, de Camélia, de Rose et puis de Lila. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait voler les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est comme le parfum de nocturne qui aurait l'goûts des levers du jour. Marguerite c'est mes nuits noires, c'est mes nuits rouges, c'est mes nuits blanches. C'est comme un train, oui, qui s'égare mais qui s'arrête pas dans les gares. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite c'est pas la bonne mais putain qu'elle est bonne ! Presque aussi bonne que Marie, en un peu moins putain aussi. J'en ferais bien ma religion, j'en ferais bien mon horizon, c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins. Elle est comme un bateau d'pirates, comme un chien qui a mal à la patte. Marguerite elle a l'goût d'la mer, elle a la fraîcheur des rivières, elle a l'ivresse de la vodka, la folie de la tequila, elle est un peu Mexicaine, un peu Française aussi. Elle est tout c'qu'on veut qu'elle soit, tous les possibles au bout des doigt. Elle t'emmène d'l'autre côté d'la Terre juste quand elle ouvre les paupières. Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudres, Marguerite c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre. Marguerite c'est mes coups d'jus , c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues. C'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups. C'est la luciole au fond des nuits, c'est comme rouler sans le permis. Marguerite elle est belle comme un accident de bagnole, comme un poids lourd qui a plus les freins, Marguerite elle est folle et c'est vrai que moi j'aime bien quand elle fait péter les assiettes, quand elle me fait péter les plombs, qu'elle dit qu'elle aime pas mes chansons.

se disant des mots doux subissant les mots dits entre quelques maux d'amour avant les derniers beaux jours on s'essoufle toute la nuit on en parle puis on oublie si vite si vite tapissant ce taudis de souvenir d'une autre vie t'épuisant, t'es meurtri la mémoire ensevelie par le souffle de la vie qui finira dans l'oublie si vite si vite toi et moi on y croit meme si ça n'existe pas mais tu sais quoi c'est pas grave y'en a marre d'etre une épave je vis ma vie très bien sans toi d'ailleurs merci on se perd en désuétude ça fait passer la solitude on se retrouve encore à parler face au décor à se raconter tout et rien pas pressés d'atteindre demain ni d'éteindre la lumière sans laquelle on est pas fière mais s'étreindre dans le noir rien de mieux quand il est tard pourtant pourtant toi et moi, on y croit meme si ça n'existe pas mais tu sais quoi c'est pas grave y'en a marre d'etre une épave je vis ma vie, mais sans toi meme si ça n'existe pas mais tu sais quoi c'est pas grave meme si oui des fois j'en bave je vis ma vie tres bien sans toi d'ailleurs merci tout les deux, face à eux plus de chance dans la balance pour faire le poids dans ce chaos meme si là-haut il n'y a que ça mais tu sais quoi je n'sais meme pas si tu m'attendais là-bas après tout on s'en fout même si moi j'ai attendu et si toi tu m'as déçu le passé n'est que des présent dépassés toi et moi, on y croit meme si ça n'existe pas mais tu sais quoi c'est pas grave y'en a marre d'etre une épave je vis ma vie, mais sans toi meme si ça n'existe pas mais tu sais quoi c'est pas grave meme si oui des fois j'en bave je vis ma vie tres bien sans toi d'ailleurs merci je vis ma vie malgrès le vide je vis ma vie sans toi tant pis

des illusions désillusions des idées cons des "si" dont on se passerait bien décidons si on recommence ou si on se perd dans la transe est-ce que ça a le moindre sens ? attends demain il fera jour on fera ptet moins de détour on alors on passera notre tour encore un histoire qui fini- rait avant d'avoir commencé perdu dans ce labyrinthe on s'essouffle, on s'éreinte mais en cherchant la sortie on s'dit qu'le chemin c'est bien aussi plus important que l'arrivée si le trajet nous fait rêver cela vaut bien tous leurs trésor après tout qui sait qui a tort ? no one is wrong no one is wright no it just depends of your sight one day you're burning in the light the next you're freezing in the night no matter how hard you try you keep running you don't know why you don't know how to carry on when you can't stop feeling that you're alone perdu dans ce labyrinthe on s'essouffle, on s'éreinte mais en cherchant la sortie on s'dit qu'le chemin c'est bien aussi plus important que l'arrivée si le trajet nous fait rêver cela vaut bien tous leurs trésor après tout qui sait qui a tort ? no one knows no one cares they just blow your dreams away but we don't care no we don't care if they don't know if they don't know we just follow the path we choose for ourselves perdu dans ce labyrinthe on s'essouffle, on s'éreinte mais en cherchant la sortie on s'dit qu'le chemin c'est bien aussi plus important que l'arrivée si le trajet nous fait rêver cela vaut bien tous leurs trésor après tout qui sait qui a tort ?

do you know this feeling when you can't focus anymore you feel your eyes are closing you know you're wasting your time what you hear isn t interesting what you see is so boring you need to be captivated to be outside and feel the air not inside and suffocating wondering what's waiting out there you have to realise the only limits that you have are the ones inside... you you have to realise the only one who can save you from this nightmare is you but you're still here you don't know why wondering what keeps you from leaving you just don't understand why you can't be who you want to be you have to stick in the line pretending you're fine acting like they say you should though you'd break it all if you could you have to realise the only limits that you have are the one inside... you you have to realise the only one who can save you from this nightmare is you you have to realise the only limits that you have are the one inside... you you have to realise the only one who can save you from this nightmare is you cause this nightmare is you this nightmare is you